Tres Poemas Sin Título
Por: Fredi Guthmann
En ai-je vu
Qui étaient nues
Rien que dans la peau de leurs lèvres
Quand elles souriaient
Qui portaient dans leurs yeux
Qu'elles dussent être nues un jour
Plus tôt leur saison
Ignominieusement vraiment nues
Avec leur triangle mate et la longue evanescence
Des cuisses filantes
En bas nues debout et offertes
Nues debout sous une porte cochère
En face d'un fleuve violent comme un monsieur
Dans la ville la nuit épaule contre épaule
Le fleuve qui coule plus obscènement
Pus animalement que mille regards de messieurs.
../.
Je viens d'un pays dont les yeux sont
toujours fermés
Au bord d'une mer qui se tient comme un animal
sur une jambe
perplexe
et qui guette
Et les paupières baissées
y perle une goutte d'androïde une
goutte d'oranger
Ah le luxe des tigres
nous prenait le soir en coup de vent
et nous étions emportés dans un parfum de chair mouchetée.
../..
La mère est partout
Elle est tout
Jusqu'à la moindre nuance de moi
Et de tous les "moi" ô hommes
Depuis l'aurore aux grilles d'atout
Jusqu'au bleu provisoire
Entre la jupe fleurie et la cuisse haute de la jeune fille
Que craindre, ô mère?
J'ai crié une trop grande guerre
Que diront les hommes des générationns apaisées
Des frères endigués
Des digues fraternisées?
Sinon sourire
Mais por retrouver ce soldat
Peut être sauront-ils se pencher vers la terre avec ses insectes
Vers le sang avec ses stratégies
Vers la mémoire avec ses riverains engloutis
Vers quoi de plus éternel que l'agneau inguérissablement?
4 Comments:
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salud
911 was an inside job. Bush and Silverstein did it themselves.
**TRUTH** and the same goes for 7/7 8 camera digital i832 megapixel polaroid
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